Le classement CFP prouve en outre pourquoi Mark Stoops ne vaut pas son énorme salaire au Kentucky

Le classement du football universitaire vient d'être annoncé, et il n'est pas surprenant que le Kentucky soit introuvable. Ils ont une fiche de 3-6 au total et de 1-6 dans la SEC, un désastre absolu d'une saison qui les a placés au bas de nombreux classements. C'est un problème, et le problème dans le problème est que Mark Stoops est l'un des 10 meilleurs entraîneurs rémunérés.

Il est actuellement le 9e entraîneur-chef le mieux payé de tout le football universitaire. Sur les 10 meilleurs entraîneurs, seuls trois ne participent pas à la conversation sur les séries éliminatoires de football universitaire : Lincoln Riley (USC), Mike Norvel (État de Floride) et Mike Stoops. Il ne devrait pas être stupide de dire que si vous êtes l'un des 10 meilleurs entraîneurs rémunérés, vous devriez constamment terminer dans le top 10 année après année.

C'est le deuxième problème dans le problème : Stoops ne l'a pas fait une seule fois. Pas une seule fois il n’a connu une saison dans le top 10, et le moment où il s’en est le plus rapproché, c’est lorsqu’il a dû renoncer aux 10 victoires en 2021. On ne peut pas dire cela des deux autres entraîneurs : Riley et Norvel. Bien sûr, Riley ne l'a pas prouvé à l'USC, et son siège est vraiment chaud, mais à Oklahoma, il n'a jamais subi plus de deux défaites cette saison.

C'est facile : pourquoi le Kentucky a-t-il signé cette prolongation de contrat avec Stoops ? C'est une question légitime mais ce n'est pas la bonne question actuellement. C'est une question rétrospective. Pour l’avenir, la question doit être : « Que va faire le Kentucky à ce sujet maintenant ? » La réponse ne peut pas être plus la même. Si le Kentucky veut payer son entraîneur de football en chef autant qu’il l’a choisi, il doit y avoir des résultats différents. Une saison avec 5 victoires ne suffit pas. Une saison avec 5 défaites n’est même pas suffisante.

En fin de compte : un entraîneur du top 10 devrait produire des équipes du top 10, sinon elles doivent disparaître. L’annonce des éliminatoires du football universitaire en est un rappel supplémentaire.