Dimanche, dans un Dignity Health Sports Park bondé, le LA Galaxy a livré une performance que même les meilleurs écrivains d'Hollywood n'auraient pas pu écrire. Une victoire époustouflante 6-2 contre le Minnesota United FC a envoyé un message clair : le Galaxy n'est pas seulement à la recherche de la Coupe MLS ; ils sont prêts à écraser quiconque est assez audacieux pour se mettre en travers de leur chemin.
Gabriel Pec n'a pas perdu de temps, littéralement. Trente secondes plus tard, et paf, le tableau d’affichage s’allumait déjà. Ce qui a vraiment marqué, cependant, c'est la façon dont le Galaxy a rejeté les soi-disant « règles non écrites » du football en séries éliminatoires. Vous savez, ceux qui disent que les équipes doivent jouer la sécurité, verrouiller la défense et éviter de prendre des risques. Greg Vanney, l'entraîneur-chef qui a fait face à beaucoup de scepticisme l'année dernière, n'a pas simplement ignoré ce manuel ; il l'a déchiqueté. Au lieu de cela, il a fait tapis avec une mentalité intrépide et axée sur l’attaque.
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Le Galaxy n'a pas seulement battu le Minnesota, il a dominé, embarrassé et complètement anéanti ses espoirs de revenir en force. Pec était évidemment le plus remarquable. Au-delà de son premier but ultra-rapide, il a réussi un dribble de 70 mètres qui s'est terminé par une arrivée aussi douce qu'une brise du Pacifique.
Mais il n’était pas le seul à voler la vedette. Dejan Joveljić et Joseph Paintsil ont rejoint la fête, inscrivant chacun deux buts. C'était un travail d'équipe, Riqui Puig orchestrant l'attaque comme un maestro dirigeant une symphonie sans faille.
Voici le kicker : il s'agit d'une équipe qui a terminé 13e de la Conférence Ouest l'an dernier. Comment diable peuvent-ils réussir un revirement aussi spectaculaire ? Deux mots : Gabriel Pec et Paintsil. Ces signatures de stars n'ont pas seulement apporté du talent ; ils ont donné à la Galaxie une toute nouvelle identité. Ils ont transformé l'équipe en un poids lourd offensif, ce qui manquait absolument la saison dernière.
Bien sûr, la défense n’est pas vraiment impeccable. Kelvin Yeboah du Minnesota a réussi à marquer deux fois, dont un penalty. Mais honnêtement, quand votre attaque peut surpasser n’importe quel hoquet défensif, qui s’en plaint ?
La prochaine étape ? Les Sounders de Seattle, de retour dans le même stade où s'est déroulée cette raclée historique. Si le Galaxy réussit, il pourra même accueillir la finale. Ce n'est pas seulement de la chance ; c'est le témoignage d'une équipe qui croyait en son propre potentiel et qui a transformé ses faiblesses en armes.
Le Galaxy vise son sixième titre en Coupe MLS, un exploit qu'aucune autre équipe n'a réalisé. Les fans l’ont surnommé « The Race for Seis » et tout à coup, cela semble plus réel que jamais. Mais il ne s’agit pas seulement d’ajouter un autre trophée au cabinet ; il s'agit de récupérer un héritage. Il s’agit d’une déclaration, d’un rappel audacieux que l’équipe qui dirigeait autrefois la MLS a encore beaucoup de combat à faire.