Les Bears de Chicago auront une décision cruciale quant à savoir qui sera le prochain entraîneur-chef à diriger cette franchise pendant l'intersaison. Le front office des Bears pensait que Matt Eberflus était ce type, mais cela n'a pas fonctionné puisque l'équipe l'a licencié le lendemain de Thanksgiving, par coïncidence le Black Friday.
Avec le départ d'Eberflus et la prise de fonction de l'entraîneur-chef par intérim Thomas Brown, cela n'a pas arrêté des candidats comme Mike Vrabel, Ben Johnson, Brian Flores et Joe Brady.. Il sera intéressant de voir si les Bears interviewent l'un de ces candidats dans les semaines à venir.
Cependant, avant que les Bears puissent penser à embaucher un nouvel entraîneur-chef, ils ont des querelles au sein du front office qui doivent être réglées dès que possible.
Dans l'édition de lundi du Silvy and Waddle Show sur ESPN 1000, Silvy a mentionné que le directeur général des Bears, Ryan Poles, était frustré de devoir rendre compte au président de l'équipe, Kevin Warren (avec l'ancien ailier rapproché de la NFL, Clay Harbor). Il dit également que les Polonais n'auraient peut-être pas accepté le poste de GM si cela devait être le nouveau changement.
Les Polonais relevaient initialement du propriétaire de l'équipe, et non de Warren, mais maintenant il rend compte à Warren, qui se rend ensuite au propriétaire. Le directeur général des Bears aurait été « très vocal » à propos de cette nouvelle dynamique auprès des personnes en qui il avait confiance au sein de l’organisation.
Par coïncidence, ce n'est pas la première fois. Dianna Russini de The Athletic l'a souligné dans son article le week-end dernier. Russini a mentionné que tout candidat entraîneur voudra avoir une compréhension claire de la relation entre les Polonais et Warren.
Il y aurait eu des tensions entre les deux hommes lors de leur conférence de presse après le tir d'Eberflus. Warren a fait la majeure partie de la discussion et est le principal entraîneur-chef de Chicago après que les Polonais ont eu leur chance avec Eberflus.
Néanmoins, Chicago souhaite sortir de sa tourmente et, espérons-le, changer le récit autour de l’organisation. Cette querelle doit être gérée. Aucun entraîneur-chef ne voudra faire partie d’une équipe où le président de l’équipe et le directeur général ne sont pas sur la même longueur d’onde.
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