Aujourd’hui, c’est le Duke Hate Day, ou comme diraient les fans du Kentucky, juste un mardi normal dans l’État de Bluegrass. Pourtant, la rivalité s'intensifie chaque année autour de la Champions Classic entre deux fières bases de fans. Le Kentucky et Duke s'affrontent à Atlanta ce soir pour plus que simplement le droit de se vanter, même si ceux-ci sont aussi amusants.
Les deux programmes sont dirigés par d’anciens capitaines qui ont remporté des titres à leur alma maters. Jon Scheyer et Mark Pope visent à ramener Duke et Kentucky à la gloire du championnat. Les Wildcats ont remporté le titre national pour la dernière fois en 2012, tandis que le dernier championnat des Blue Devils a eu lieu en 2015. Ces deux programmes puissants ont emprunté des chemins différents pour constituer leurs effectifs pour cette saison, ce qui rend la confrontation de ce soir d'autant plus convaincante.
Duke, qui possède actuellement la première classe de première année, est construit autour de recrues de premier plan comme Cooper Flagg, Khaman Maluach, Darren Harris, Isaiah Evans, Kon Knueppel et Patrick Ngongba II. Les Blue Devils sont jeunes, talentueux et pleins d’athlétisme.
Le Kentucky, quant à lui, s’appuie sur l’expérience. Avec des transferts de vétérans comme Koby Brea, Lamont Butler, Andrew Carr et Jaxon Robinson, les Wildcats disposent d'un noyau mature et éprouvé. Les fans du Kentucky sont impatients de voir si l'expérience de l'équipe leur donnera un avantage contre les jeunes de Duke lors d'un match de début de saison.
Voyons où en sont les fans de Duke ce soir, avec des publications sur les réseaux sociaux :
Il est important de souligner que. Donc, soit ce fan de Duke est nul en mathématiques et en calcul, soit il ne veut pas admettre que le Kentucky détient l'avance de tous les temps sur Duke.
Le top 20 de ce soir présente tous les éléments d'un aperçu de mars. L'équipe de vétérans du Kentucky donnera-t-elle à Mark Pope sa première victoire en tant qu'entraîneur-chef, ou les jeunes stars de Duke seront-elles à la hauteur de leur battage médiatique et ramèneront-elles un W à l'empire maléfique du basket-ball universitaire ?