Les commentaires d'après-match de Cutter Boley après la dernière défaite du Kentucky reflètent un jeune quart-arrière doté d'un état d'esprit compétitif et d'un optimisme inébranlable. Malgré une saison frustrante pour l'offensive des Wildcats, Boley croit que l'équipe a un brillant avenir et le potentiel d'accomplir quelque chose de sans précédent au Kentucky. Mais les fans, qui se lassent des luttes offensives année après année sous Stoops, partageront-ils cette conviction ? Les fans du Kentucky ne sont déjà que trop habitués à la mentalité d’attendre l’année prochaine.
La performance de Boley : une étincelle au milieu des luttes
Inséré en milieu de partie, Boley a offert un aperçu de promesses qui ont manqué la majeure partie de l'année :
"J'ai pu y aller et faire bouger certaines choses", a déclaré Boley, "mais nous devons inscrire certains points au tableau."
L’incapacité à capitaliser sur les chances de la zone rouge a tourmenté le Kentucky toute l’année. Classée 113e au niveau national pour le pourcentage de scores dans la zone rouge (76,92 %), cette attaque a constamment gaspillé des opportunités de rester compétitive. (lien vers l'article de Hamdan ici quelque part)
Apprendre sous le feu
Malgré les malheurs offensifs, Boley attribue sa préparation aux vétérans Brock Vandagriff et Gavin Wimsatt.
Le sang-froid du quarterback de première année et sa volonté d'apprendre sont encourageants, mais le poids des attentes sur ses épaules l'année prochaine sera immense si les clés sont confiées au Freshman en chemise rouge.
La plus grande question : l’adhésion des fans
L'optimisme de Boley est certainement contagieux :
Mais les fans restent sceptiques. Après une autre année de stagnation offensive – marquée par des scores médiocres, une inefficacité et des appels de jeu sans inspiration – les supporters se rallieront-ils derrière le programme en 2024, quel que soit le quart-arrière ?
Qu’est-ce qui doit changer ?
Pour que le Kentucky reprenne son élan :
Le leadership et la confiance de Boley sont essentiels, mais sans améliorations tangibles, l'offensive du Kentucky risque de perdre plus que des matchs : elle risque de perdre ses fans.